Ernesto Tross est souvent considéré comme le Moitessier italo-allemand, même si, à la différence du mythique marin, Tross s’attache à construire de ses mains les bateaux sur lesquels il navigue. “Chaque fois que je sors du Tibre, je tourne à gauche”, répète souvent Tross, et Cap à l’Est est l’histoire de son incroyable existence employée en grande partie à voyager en Orient, à la découverte de ce qui, pour lui, est le berceau de toute civilisation et de toute culture. C’est pour cela qu’il a passé dix-huit ans de sa vie, avec de brèves pauses, dans l’Océan Indien, entre l’Inde, la Malaisie et l’Indonésie. Toujours avec des bateaux de sa fabrication (il en a déjà construit dix), bourrés de détails originaux et toujours hors des schémas et des modes imposés par le marketing nautique. Mais Tross a aussi voyagé avec d’autres moyens: à moto dans l’Himalaya, en buggy (de sa fabrication) dans le désert, en planeur, à pied. Sa vie est l’image même du désir de voyager pour découvrir le monde. Une histoire marquée du sceau de la passion pour la mer et la voile, et plus largement pour le voyage au sens classique, l’occasion d’aller à la rencontre de gens, de civilisations et de cultures différentes des nôtres.
"Cap à l’Est est un livre au parfum de mers lointaines".
Il Messaggero
"Un récit marqué par la passion".
Nautica
L'auteur
Ernesto Tross est é en Allemagne en 1932 et vit depuis de nombreuses années à Rome. Il a passé une longue période à Paris, où il s’est spécialisé dans la création de vitraux d’art pour les églises, et en a fait sa profession. Mais dès son plus jeune âge, il a consacré une grande partie de son temps à voyager. Il est parti pour son long voyage en Orient en 1982. Il a passé près de 15 ans dans cette région du monde, plusieurs années en bateau, mais aussi une année en Inde, une en Malaisie, une au Sri Lanka, et enfin, une année en Australie. Collaborateur d’importantes revues de voile, il est connu et apprécié de l’élite des navigateurs. Outre Cap à l’Est (première édition en 2003) il a publié Un bateau sûr (2007) et Contre la grande-voile (2012).